mercredi 27 mai 2015

"Ne me libère pas, je m'en charge" dit le sauvage contemporain




Le sauvage du XXIe siècle s'extrait de la léthargie contemporaine pour développer sa curiosité et chercher des solutions à ce qu'il ne veut plus accepter. Il dépasse l'indignation qu'exprime la masse passive qui a laissé faire depuis des décennies (par exemple en Grèce, en Italie, en France et en Espagne...) et transforme son inquiétude en une rage constructive qui le fait agir au lieu de râler, se prendre en main au lieu d'accuser "les autres". Il se rallie à des frères demandeurs d'espoir comme lui et, au lieu de les critiquer sur des détails, se joint à l'énergie nouvelle pour organiser une société du changement.


Où trouve-t-il la force? Là où le mène son inspiration. Dans la nature, dans les sciences de pointe, auprès de vieux ou de jeunes sages, dans les livres, dans l'amour, dans une nouvelle spiritualité... Avant tout, il décide de franchir le gouffre et met sa décision à exécution sans se demander si l'assurance le remboursera au cas ou le pont cèderait un jour de tempête...

André

Têtu.

Réfléchi.

Combatif.

Armé de patience.




2 commentaires:

clodoweg a dit…

J'aime bien le type "armé de patience".
Pas que de patience, il a une kalach aussi.
Ca peut toujours servir

unnu a dit…

La liberté de respirer, la liberté de boire, la liberté de se nourrir, la liberté de se loger, sont les mamelles des autres libertés le corps doit vivre pour que l'âme s'exprime.
Dans notre monde au bord de la guerre générale la liberté bien qu'éternelle est bien mal en point.
Et si nous reconstruisions nos libertés plutôt que de s'en chargé, ce serais moins lourd ?