lundi 18 octobre 2021

Pour courir, danser, baiser, il faut des fesses et des mollets souples





La robustesse et la souplesse d'un corps dépendent de la manière dont on le traite. Un gars qui passe des heures assis à son bureau ou derrière un volant maltraite profondément ses muscles en les immobilisant. Puis si, pour compenser, il se lance rapidement dans des exercices violents, il aggrave la situation. Passer d'un état à l'autre demande une période d'ajustement. C'est la même chose avec le sexe. L'amour est un repas festif qu'on aborde par un apéro, poursuit avec le ou les plats principaux et termine sans oublier de savourer le dessert. Bien sûr, il y a des situations où l'on se contente de frites dans un cornet, mais cela doit demeurer exceptionnel. Mieux vaut rester sur sa faim que de s'empiffrer bêtement. -- André






































































8 commentaires:

Xersex a dit…

Mieux vaut rester affamé que se gaver bêtement: c'est vrai, mais cela dépend beaucoup de ce que la vie nous offre dans les différents moments. Cela dépend de combien nous avons besoin d'aimer et d'être aimés. Cependant, j'ai appris une chose très importante: éviter les situations et les personnes négatives, qui nous font nous sentir mal et nous affligent. Il serait déjà important que tout le monde l'apprenne.

De plus, le véritable amour n'est pas statique, mais évolue : il naît, se développe, grandit et devient de plus en plus fort. Ceci évidemment s'il y a un accord et si cet accord est maintenu par les deux. Sinon, comme chaque chose humaine, il finit par mourir.

Jimmy a dit…

I love the photo of the guy wearing the 'balls' necklace. It made me laugh and smile.

unnu a dit…

Voila un article bien charnu, très appettissant, avec entrée plat et dessert
Puis apres un peu d'exercice physique pour bien digéré
Biz unnu

André a dit…

Xersex !

Tout à fait d'accord avec toi de A à Z.

Selon l'expérience de nombreux gays de ma génération et de la suivante, il y a eu deux sortes de morts de l'amour. Celle que tu décris, et celle qu'un foutu virus a semée parmi nous. Il est encore plus difficile de s'en remettre. De plus, nous n'avons pas seulement perdu des amoureux, mais des amis qui comptaient aussi beaucoup pour nous, parfois plus parce que notre amitié avait duré depuis l'enfance ou l'adolescence.

Xersex a dit…

le virus que tu penses aurait pu être limité par la monogamie, une fois la raison découverte.

Jean a dit…

pour filer la métaphore jusqu'au bout : il y a aussi des périodes de jeunes qui duuuuurent longtemps, par pénurie d'ingrédients ou parce qu'il vaut parfois mieux sauter (!) un repas que de consommer de la daube.

Xersex a dit…

Quand on a faim, on mange aussi volontiers de la daube.
Je vous assure que j'aurais aussi mangé des carottes (éventuellement charnues :-)

Anonyme a dit…

Les connaisseurs savent que le petit fessier ferme et musclé des jeunes hommes s'admire le mieux pendant qu'ils copulent en position dite "de missionnaire". Que le partenaire soit mâle ou femelle, les ondulations de leurs lombaires et les va-et-viens de leur petit cul sont un régal.
Chaque coup de queue s'accompagne d'une jolie contraction des fessiers; chaque retrait entrouvre la raie du type, dévoilant furtivement sa petite rondelle poilue...
Si, en plus, ils ont du poil au cul (duvet délicat sur les fesses, poils bouclés du périnée qui débordent sur l'intérieur des cuisses...) le tableau devient explosif...