Des recherches, tant dans les pays d'Europe du nord qu'aux États-Unis, mettent en évidence une petite épidémie de ces tumeurs chez des personnes qui sont devenues sexuellement actives très jeunes et ont eu de multiples partenaires. À Stockholm, par exemple, l'incidence de cancers de l'amygdale résultant d'une infection de VPH a été multipliée par sept en trente ans. Si la tendance se poursuit, ce type de tumeurs comptera bientôt pour la moitié des cancers oropharyngés dans les pays dits développés, à côté des causes traditionnelles que sont le tabagisme et la consommation d'alcool.
Les VPH étaient jusqu'à maintenant tenus responsables de la plupart des cas de cancer du col de l'utérus. Chez les hommes, les condylomes acuminés (VPH) peuvent évoluer vers un cancer du pénis ou un cancer anorectal s'ils ne sont pas diagnostiqués et traités à temps. Le virus se transmet par contact direct entre personnes, par contact indirect (on se gratte après avoir touché une personne ou une surface contaminée), par baiser profond, par contact avec un objet ou une surface contaminée (piscine, douche, backroom, sauna). Mieux vaut se faire contrôler régulièrement que crever. Attention: beaucoup de médecins sont paresseux (même les gay!); il faut insister pour qu'ils effectuent un contrôle complet...
André
Plus attentif que le suceur en photo, tumeur...
RépondreSupprimerLe désir et le danger, c'est la vie. L'attirance sexuelle et l'amour n'y échappent pas. A chacun de s'informer et de penser comment il va se protéger. Et les pères qui ne transmettent pas les connaissances nécessaires, aussi au sujet de l'homosexualité, sont des criminels.
RépondreSupprimeret s'il va protéger...
RépondreSupprimerTout est à risque... Mais quel plaisir d'en sucer une bonne, surtout vers la fin, quand des contractions annoncent l'arrivée de la semence !
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