L'an dernier à la même date je publiais ici
Les couilles pendantes: certains les trouvent bandantes, un billet qui a été vu par 2450 personnes depuis lors, score qui va encore augmenter si j'en crois les statistiques que Blogger établit jour après jour. Ainsi
Nus, rasés, engueulés, terrifiés paru le 7 juillet 2009 en était hier à 7775 passants ou lecteurs. Bien sûr, les sujets métaphysiques se défendent moins bien dans un blogue. Mais il n'y a pas de honte à s'intéresser à nos valseuses; elles sont, en quelque sorte, à la source de l'humanité et il serait dommage que nous méprisions cette part précieuse de notre corps, de notre identité et notre hérédité. Précieuse et non honteuse comme le langage populaire le laisserait entendre.
Le besoin de les montrer réside en chaque homme; le désir aussi de les faire aimer et honorer (dans leur forme décontractée ou la plus tendue). Chacun d'entre nous est en quête de caresses et de plaisirs partagés. Tout cela est bien naturel et l'on ne devrait pas avoir à s'en cacher puisque ces échanges contribuent au bonheur (et à la perpétuation) de l'humanité.
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L'amour vache. |
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L'amour soumis. |
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L'amour jaloux. |
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L'amour fardeau. |
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Les couilles, et la compagne qui les cache partiellement, n'ont pas toujours été considérées comme causes d'embarras en public. Suivant les sociétés et les époques, elles étaient mises en évidence, valorisées ou exposées le plus normalement. La nudité n'était pas liée à la sexualité ou à l'exhibitionnisme dans l'esprit des gens. Et la parade sexuelle des humains était considérée comme celle des animaux, naturelle et indispensable pour créer des liens.
Alors les gars, supprimons de notre langage les expressions
partir en couille ou
il y a une couille. Considérons nos valseuses avec respect, traitons-les avec affection. Elles ne sont pas des pièces rapportées; nous leur sommes attachés comme elles nous sont liées.
André
Bonjour André,
RépondreSupprimerElles sont exquises et j'ai un faible tout particulier pour le délicat et élégant plissé de la numéro 14. Le contraste entre la paleur plane et lisse de l'aine, la vivacité pourpre, feuilletée, ronde des testicules, agrémentée de la nonchalance qui parait ne vouloir qu'étre éveillée de la verge mutine, le tout surmontée d'un buisson ( désolé pour le cliché) d'un éclat sombre, ou doigts, nez et bouche ne demanderaient qu'à se perdre...oh oui, très très !
Ceci dit, cela fait belle lurette, que j'avais entendu dire que la philosophie (et la métaphysique) avaient pour origine la question -ô combien cruciale- "Et pourquoi ce salaud y veut pas ?"
Ce serait donc de là que tout démarre (y compris nous même).
Alors, il y en a qui préfèrent déplacer l'énergie que cela soulève vers des sujets plus loin du corps (de temps en temps, why not , c'est pas mal aussi). Et d'autres qui restent à hauteur de muqueuses excitables. Pas mal non plus....
Bien cordialement
frenchanonymous
Mmmmmhhhh,
RépondreSupprimerToujours autant bon goût André :-)