mercredi 2 avril 2014

Hommes nus sur canapé : sabrons ou sablons le champagne !







He put down his glass and stretched his bare arms along
The back of my sofa. The afternoon sunlight struck
The blond hairs on the wrist near my head. His chin was strong.
His mouth sucky. I could hardly believe my luck.

Il a posé son verre et étendu ses bras nus
Sur le dos du sofa. La lumière de l'après-midi caressait
Les poils blonds du poignet près de ma tête. Son menton carré,
Sa bouche pulpeuse. Je n'en croyais pas ma chance.

And here he was sitting beside me, legs apart.
I could bear it no longer. I touched the inside of his thigh.
His reply was to move closer. I trembled, my heart
Thumped and jumped as my fingers went to his fly.

Et il était là, assis à côté de moi, jambes écartées.
Je ne pouvais plus me contenir. J'ai touché l'intérieur de sa cuisse.
Il y a répondu en se rapprochant. Je tremblais, mon coeur
Cognait et sautait tandis que mes doigts touchaient sa braguette 

I opened a gap in the flap. I went in there.
I sought for a slit in the gripper shorts that had charge
Of the basket I asked for. I came to warm flesh then to hair.
I went on. I found what I hoped. I groped. It was large.

J'ai forcé l'ouverture. Je me suis introduit.
J'ai cherché la fente dans le caleçon qui contenait
Le paquet que j'avais désiré. J'ai senti la chaleur de la chair puis les poils.
J'ai continué et trouvé ce que j'espérais. L'ai saisi. C'était imposant.

Extrait de The Platonic Blow du poète W. H. Auden (1948). -- Dédié à Bud, jeune mécanicien.


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