Alors, franchement, voilà le genre de post qui me déprime totalement et me ferait crier à l'injustice... si mon éducation ne me poussait pas à réserver mes cris pour de plus nobles causes !...
MAIS ENFIN... c'est vrai !... Pourquoi la nature ne m'a-t-elle pas doté, MOI AUSSI, de cette plastique de rêve, encore mise en valeur et sublimée par ces parures qui me feraient ressembler, moi, au beauf total avachi et décrépit que vous connaissez peut-être... ...moi qui serait très loin d'avoir cet aspect indompté du "mâle sauvage" que vous êtes peut-être...
Vite... un verre de mon flacon préféré "Château Belles Illusions"... Grand Cru, définitivement classé !
Je réagis différemment à la vue de ce mélange de sublime et de grotesque qui me rappelle un épisode de mon enfance. J'avais environ six ans et j'étais invité chez un oncle père de trois fils dont le plus jeune était mon contemporain. La nuit, je dormais dans "la chambre des garçons" et je trouvais les caleçons longs qui leur servaient de pyjamas complètement ridicules avec ce volet arrière et la braguette qui bâillaient. J'étais pourtant déjà très attiré par les mâles, mais pas ces gamins.
Pourquoi se lamenter devant cet étalage de virilité mal fagotée (mais pimentée) plutôt que de se régaler à leur vue, sachant pertinemment que nous ne pourrions pas tomber amoureux de ce type de gars?
Pourquoi se lamenter, André ?... Et pourquoi pas, après tout ?....
Peut-être, parce que, à défaut de l'amour, on aimerait tant pouvoir susciter au moins du désir !... Non ? Ce "on" ne se rapportant, bien sûr qu'à moi-même comme tu le sais bien. Ce "moi-même" qui t'avoueras encore qu'à son âge, il est de moins ne moins certain de distinguer toujours très clairement la frontière amour / désir. Problème de presbytie, sans doute...
J'aime beaucoup les chaussettes de sport! elles sont tellement érotiques!
RépondreSupprimerAlors, franchement, voilà le genre de post qui me déprime totalement et me ferait crier à l'injustice... si mon éducation ne me poussait pas à réserver mes cris pour de plus nobles causes !...
RépondreSupprimerMAIS ENFIN... c'est vrai !... Pourquoi la nature ne m'a-t-elle pas doté, MOI AUSSI, de cette plastique de rêve, encore mise en valeur et sublimée par ces parures qui me feraient ressembler, moi, au beauf total avachi et décrépit que vous connaissez peut-être...
...moi qui serait très loin d'avoir cet aspect indompté du "mâle sauvage" que vous êtes peut-être...
Vite... un verre de mon flacon préféré "Château Belles Illusions"... Grand Cru, définitivement classé !
Cher Philippe,
RépondreSupprimerJe réagis différemment à la vue de ce mélange de sublime et de grotesque qui me rappelle un épisode de mon enfance. J'avais environ six ans et j'étais invité chez un oncle père de trois fils dont le plus jeune était mon contemporain. La nuit, je dormais dans "la chambre des garçons" et je trouvais les caleçons longs qui leur servaient de pyjamas complètement ridicules avec ce volet arrière et la braguette qui bâillaient. J'étais pourtant déjà très attiré par les mâles, mais pas ces gamins.
Pourquoi se lamenter devant cet étalage de virilité mal fagotée (mais pimentée) plutôt que de se régaler à leur vue, sachant pertinemment que nous ne pourrions pas tomber amoureux de ce type de gars?
Pourquoi se lamenter, André ?...
RépondreSupprimerEt pourquoi pas, après tout ?....
Peut-être, parce que, à défaut de l'amour, on aimerait tant pouvoir susciter au moins du désir !... Non ?
Ce "on" ne se rapportant, bien sûr qu'à moi-même comme tu le sais bien.
Ce "moi-même" qui t'avoueras encore qu'à son âge, il est de moins ne moins certain de distinguer toujours très clairement la frontière amour / désir.
Problème de presbytie, sans doute...
Bonne St-Valentin à tutti... quand même !
sa c'est sure et en plus c'est pratique surtout quand il fait froid très beau hommes
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