Les Japonais célèbrent plusieurs rituels hivernaux joyeux dans
différentes régions du pays balayées par le vent, la neige ou la pluie.
"Fête de l'homme nu" ou "Festival de la boue", les participants mâles
revêtent le pagne traditionnel, le
fundoshi pour défiler dans la
rue, se baigner dans la mer ou une mare boueuse, s'asperger d'eau froide
et se rendre dans les temples. Le canon retentit, c'est viril, il y a
des courses, des compétitions amicales et musclées pour obtenir un
objet magique. On passe en frissonnant à travers le rituel de
purification par l'eau et la bagarre dans la boue. À la campagne on prie
pour obtenir de bonnes récoltes, partout pour que les enfants
grandissent en bonne santé. Et la nudité? C'est vivifiant, cela renforce
le système immunitaire et la fraternité mâle. Et si l'on n'abuse pas du saké, la quasi-nudité du
fundoshi rapproche aussi de l'unité
spirituelle entre le corps et l'esprit.
André
Juste au Japon, il y a des festivals qui présentent la bite, comme une source de fertilité: Kanamara Matsuri
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