C'est ici que l'on peut mesurer la différence entre le retour spontané à l'état sauvage
et une compétition chronométrée entremêlée de quelques cochoncetés aussi prévisibles que celles d'un parcours d'obstacles militaire.
Reflets de la Journée suisse de la boue 2016
La prochaine Journée suisse de la boue se déroulera le 17 juin 2017 à Aigle, canton de Vaud.
Savais tu qu'il ya un fétiche pour la boue?
RépondreSupprimerOui, Xersex, les photos le montrent. Au siècle dernier, je l'ai éprouvé lors d'un stage de "massage tantrique" où l'un des exercices consistait à nous masser mutuellement le corps entier sous la douche avec de l'argile. Je me trouvais avec une femme (son mari s'exerçait dans une autre douche) et je me suis mis à bander comme un sanglier (nous étions au bord d'un lac et d'une forêt, au Jura). C'était terrifiant: j'ai cru que je devenais hétéro. Ah! la puissance diabolique de la glaise dont nous sommes faits!
RépondreSupprimerTout est vrai dans cette histoire, sauf ma terreur, bien sûr. Je suis né homo à 100%. Et le suis un peu moins aujourd'hui. Seulement à 98,5%.
je pense aux bactéries et microbes qui vivent dans la solution hélicoïdale qu'est la boue
RépondreSupprimerEt moi, je suis totalement subjugué par ta dernière photo...
RépondreSupprimerUn homme qui semble enfin parvenu à une étape d'un épuisant voyage... accueilli comme un frère et par un frère...
Pour moi, le paradis ce pourrait être aussi cela.
Oui, Philippe, j'ai choisi cette photo pour marquer le point d'orgue après un trajet chaotique, merdique, mais riche en expériences. Une sorte d'humble apothéose, où l'on dépose son fardeau devant un dieu pour le remercier de sa protection; ici sa consécration d'un amour gagné malgré les difficultés.
RépondreSupprimerMerci d'avoir saisi et partagé le message.