Se limer l'asperge en bonne compagnie, même sans présentiel
En "famille" sans masque...
... c'est autorisé.
Encore un peu de prudence et ce sera de nouveau possible.
Les vaches aussi...
... préfèrent la traite manuelle.
Une
relation sensuelle, une activité sexuelle régulière, faire l'amour --
et pas seulement se vider mutuellement les burettes -- c'est excellent
pour la santé du corps, du coeur et de l'âme. La pandémie a donné
naissance à un néologisme dans l'univers bureautique. Et voilà que le présentiel
se mêle aussi de notre vie privée. Les professions manuelles qui
concernent plus que l'interaction entre la main et un clavier ou un
téléphoone ne peuvent pas se réfugier à la maison pour télétravailler. Qu'en est-il du plaisir que l'on nomme solitaire et qui est, heureusement, souvent pratiqué en compagnie ?
Selon
une expression souvent cruelle: "la vie continue". C'est pour les
chauffeurs, les livreurs, les serveurs, les magasiniers, les nettoyeurs,
les enseignants, les infirmiers, les policiers, les prostitués et tant
d'autres mecs exposés au virus. Les masturbateurs solitaires se trouvent
à l'abri, du moins lors de leur activité récréative. Néanmoins, le manque de chaleur humaine les affecte à la longue. Les
gars qui vivent en couple ou en colocation craignent, eux, de
transmettre ou d'être infectés par le virus apporté de l'extérieur.
Qu'en est-il de la télémasturbation ?
Les habitués de la pêche sur les réseaux sociaux déclarent qu'elle
n'est pas toujours miraculeuse. Une alternative serait de contacter un
camarade sympathique et pas trop exigeant. Pour se mettre en train à
distance, on peut regarder (ensemble ou séparément) des images
bandantes. Puis entrer dans l'énergie mutuelle, par des gestes, des mots
aimables ou drôles, des bruits. Mais de grâce pas le "fuck! fuck!" répétitif de ces pauvres acteurs de porno gays for pay, car mieux payés que pour une baise hétéro. Un orgasme hilarant au lieu du visage de crucifié, ce serait une expérience...
Pour
adapter les activités festives à la situation pandémique, le repas en
petit comité suivi d'un plaisir en cercle -- qui respectent tous deux la
distance sociale recommandée -- ne sont pas des punitions. Si chaque
participant s'adapte aux circonstances du moment, la conversation sera
plus riche en découvertes sur la manière de penser et vivre de chaque
convive. Sachons convertir le co-vide en convivialité.
Bonjour André, voila un article fort sympathique. il est vrai que depuis des mois la calinothérapie me manque, comme le creux de 11 heure, mais en très très long et avec une montre dont la pile déconne. J'en suis a apprécier les petits gestes d'effleurement de certains clients. Tout ces échanges numériques sont heureusement possible et font du bien. bonne journée.
"Fuck", je suis consterné devant l'utilisation de ce mot par les américain. Il n'est pas uniquement utilisé dans le porno, mais pour dans toute circonstance à propos de tout et n'importe quoi.
Bonjour André,
RépondreSupprimervoila un article fort sympathique.
il est vrai que depuis des mois la calinothérapie me manque, comme le creux de 11 heure, mais en très très long et avec une montre dont la pile déconne. J'en suis a apprécier les petits gestes d'effleurement de certains clients. Tout ces échanges numériques sont heureusement possible et font du bien.
bonne journée.
"Fuck", je suis consterné devant l'utilisation de ce mot par les américain. Il n'est pas uniquement utilisé dans le porno, mais pour dans toute circonstance à propos de tout et n'importe quoi.
RépondreSupprimerle sexe télé n'est pas pour moi, j'ai besoin de toucher. Sinon, je vais sur pornhub.
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec toi, André, pour la télémasturbation partagée. De bons moments parfois vraiment complices.
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