Mélancolie, ou ... jalousie, ou... folie, ou ... fantaisie ... c'est le temps qui met la distance, nos rêves insensés qui le nie. Narcisse c'est noyé dans sa jeunesse, nous nous noyons dans nos mirages Nous ressourçons notre corps dans nos iris. Nous nous délectons dans des images qui nous vivifient. Notre jeunesse est éternelle, nos rides n'en sont que son écriture. Nos articulations usées le sont par l'utilisation que nous en avons fait. Nos douleurs n'en sont que son expression. Chaque découverte est une jeunesse, chaque habitude une renonciation chaque aube est juvénile. c'est nos envies qui sont séniles ne salissons pas ce que nous n'avons su être. ne déifions pas ce qu'ils ne sont pas prenons chacun comme il est, c'est l'individu qu'il faut respecter
Salut poète millénaire et éternellement jeune. Connaissant un tout petit peu ton état de santé, j'admire ton élan et ton inspiration ! Bon week-end à toi.
Bonjour André ton blog est d'un grand soutien pour moi, il m'aide à me remuer j'aime ton énergie elle est un modèle que j'aimerais copier continue bien tu me fais du bien et je pense que beaucoup de tes lecteurs t'apprécient beaucoup biz unnu
Bonsoir André, J'ai pensé à ton article cet après midi en jardinant. j'ai été arrêté par la beauté d'une feuille de vigne vierge, vert tendre entourée d'un très fin liseré rouge intense, Je me suis demandé alors ce qu'elle avait de plus que les autres, la fraîcheur? la finesse? la brillance? non, rien de tout cela. Juste l'espoir qu'elle porte une vie entière qui s'ouvre devant elle et la mélancolie qui s'ouvre en nous, d'ou le besoin de protéger sa fragilité, il est si lâche d'arracher une jeune pousse.
Je ne peux pas respecter les distances! pour les aimer, je dois les toucher
RépondreSupprimerMélancolie, ou ... jalousie, ou... folie, ou ... fantaisie ...
RépondreSupprimerc'est le temps qui met la distance, nos rêves insensés qui le nie.
Narcisse c'est noyé dans sa jeunesse, nous nous noyons dans nos mirages
Nous ressourçons notre corps dans nos iris.
Nous nous délectons dans des images qui nous vivifient.
Notre jeunesse est éternelle, nos rides n'en sont que son écriture.
Nos articulations usées le sont par l'utilisation que nous en avons fait.
Nos douleurs n'en sont que son expression.
Chaque découverte est une jeunesse, chaque habitude une renonciation
chaque aube est juvénile.
c'est nos envies qui sont séniles
ne salissons pas ce que nous n'avons su être.
ne déifions pas ce qu'ils ne sont pas
prenons chacun comme il est, c'est l'individu qu'il faut respecter
biz
unnu
Unnu,
RépondreSupprimerSalut poète millénaire et éternellement jeune. Connaissant un tout petit peu ton état de santé, j'admire ton élan et ton inspiration ! Bon week-end à toi.
Bonjour André
RépondreSupprimerton blog est d'un grand soutien pour moi, il m'aide à me remuer
j'aime ton énergie elle est un modèle que j'aimerais copier
continue bien tu me fais du bien et je pense que beaucoup de tes lecteurs t'apprécient beaucoup
biz
unnu
Que cette série de photos est enthousiasmante !
RépondreSupprimerLes distances... pas trop ! Et puis en mai on fait ce qui nous plaît après tout.
Merci. René
Bonsoir André,
RépondreSupprimerJ'ai pensé à ton article cet après midi en jardinant.
j'ai été arrêté par la beauté d'une feuille de vigne vierge, vert tendre entourée d'un très fin liseré rouge intense, Je me suis demandé alors ce qu'elle avait de plus que les autres, la fraîcheur? la finesse? la brillance?
non, rien de tout cela.
Juste l'espoir qu'elle porte une vie entière qui s'ouvre devant elle et la mélancolie qui s'ouvre en nous, d'ou le besoin de protéger sa fragilité, il est si lâche d'arracher une jeune pousse.
Unnu,
RépondreSupprimerJe vais t'appeler Jeune Pousse. Tu es en train de retrouver ta part de jeunesse perdue ou abîmée par la maladie.
Superbe galerie de ... portraits!
RépondreSupprimerDes portraits dont on ne se lasse pas.
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