Le soleil est bon pour la santé physique et mentale. Ceux d'entre nous
qui ne sommes pas menacés par la famine, les bombes,
les feux de forêts, le chômage, l'hostilité envers les minorités ou les
incertitudes politiques, nous sommes impatients d'arriver aux vacances
d'été.
Oui, le soleil nous fournit en vitamine D, en bien-être et en joyeuses
camaraderies sur les plages et les sommets. Mais à condition qu'on
n'abuse pas de ses rayons et qu'on prenne les précautions
indispensables. Car les dangers sont nombreux et ne se manifestent que
peu à peu, longtemps après les brûlures. Vieillissement de l'épiderme,
mais surtout risque très important de cancer de la peau.
Une étude datant de 2016 avait révélé que les taux de ce cancer les plus
élevés au monde étaient signalés, dans l'ordre, en Australie, en
Nouvelle-Zélande, puis en Suisse où le nombre de nouveaux
cas a doublé depuis 30 ans. Dans ce minuscule pays, on en diagnostique
plus de 25'000 chaque année. Il touche autant les hommes que les femmes.
Quelles mesures de protection et de prévention prendre sur le plan local
? Par exemple: à la piscine, installer un voile sur la pataugeoire des
enfants; rappeler aux familles de ne pas s'exposer entre 11h et 15h,
laps de temps où les rayons UV sont les
plus agressifs. Faire attention aux rayons indirects, ceux que le
soleil émet par la
réverbération sur l'eau, sur le béton et le sable, sans oublier la
neige.
Au niveau personnel c'est: 1) crème solaire à indice de
protection le plus élevé, 2) habits légers mais couvrants, chapeau et
lunettes. Tout cela jusqu'au mois d'octobre, car même par
temps couvert, les rayons UV traversent les
nuages. Je connais le sujet. J'ai été opéré de nombreuses fois. Bambin
blondinet, je passais toutes mes vacances d'été à nager au bord du lac. À
l'époque, notre prophylaxie était une huile qui brillait au soleil: le
contraire d'une protection...
Oui les mecs, nous avons enfilé la capote pour nous préserver du sida. Mais elle ne nous protégera pas du cancer de la peau.
André
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| La capote ne protège pas du cancer !
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| La nudité libère les boules de leur prison et l'âme des contraintes inutiles, mais elle n'abrite pas la peau.
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| Eh les jeunes, levez les yeux de votre portable et nagez !
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Le soleil est un faux ami si l’on y prends pas garde il nous abîmés plus qu’il nous rends beau , bien sur c’est agréable de prendre un bain de soleil mais comme tu le dit si bien en prenant les précautions adéquates crème solaire indice 50 pour peau fragile , lunette de soleil et chapeau pour moi , sans oublier le passage obligé par le dermatologue une fois par an. Après pour ce qui est de cul nu ou maillot de bain c’est à vous de voir
RépondreSupprimerComment bronzer est une bonne question! À mon avis, même si on ne s'expose pas directement au soleil, on peut très bien prendre du soleil (et de la vitamine D, ne l'oublions pas!) même en restant à l'ombre. La peau n'est pas stressée ni brûlée et les rayons du soleil arrivent cependant indirectement en nous apportant leur chaleur.
RépondreSupprimerDans le porno "vintage" des années 1980 (studios Catalina, Falcon, Bijou, Jocks, Kristen Bkorn...) les jeunes hommes apparaissaient toujours très halés avec les fesses blanches.
RépondreSupprimerL'idée était fort belle : cela accentuait encore le fait qu'ils étaient entièrement nus. Un porno qui se voulait le reflet d'un idéal de jeunesse californienne, sous le soleil, où personne ne boit, ne fume, ne se drogue... Où tout le monde fait du sport, vit sainement et s'adonne au plaisir sans honte, sans gêne, sans pudeur... Pour le plus grand ravissement des spectateurs.
C'est l'époque où l'actrice Jane Fonda lançait la mode de l'aérobic. En période estivale, la tendance était aux shorts Adidas ultra-courts. Lorsqu'il s'asseyait, le bas des fesses du mec devenait visible... Le poil de sa cuisse - tantôt broussailleux, frisé ou bouclé - ne laissait aucune place à l'imagination quant à l'aspect de sa toison pubienne ou de son poil de cul...
Accessoirement, le cul blanc offrait au spectateur un contraste augmenté, permettant de mieux apprécier le poil de cette zone, les veines enserrant une hampe, la texture soyeuse d'un gland, la rugosité d'un sac tout fripé, les replis d'un anus... Tous détails masculins hautement appréciés d'un pornophile.