Nous parlons de mon billet sur l'envie du pénis, ou plutôt des bourses, et un ami déclare que ses couilles le gênent. Comment? Est-ce qu'elles ballottent telles les cloches dans un beffroi ou ne trouve-t-il pas de slip à leur mesure? Non répond-t-il, cela le dérange de se déshabiller en public parce qu'elles pendent bas.
Pourtant, c'est le propre des grelots, roustons, des boules, valseuses, joyeuses, roupettes, roubignoles, orphelines, triquebilles, burettes et chouquettes de pendre entre les jambes et de prendre l'ascenseur ou de descendre suivant la température ambiante, afin de préserver la qualité de leur contenu. Et lorsque l'excitation est à son comble, elles cherchent elles aussi à atteindre le septième ciel, tendues et plissées comme des calebasses ou des outres.
Pendantes, elles se trouvent souvent à des hauteurs différentes l'une de l'autre; leur forme et leur texture varient à l'infini: il y en a pour tous les goûts. Leur grosseur et l'étage auquel elle valsent n'influencent nullement la fertilité ni la puissance sexuelle de leur propriétaire.
Quant aux burnes de mon ami, qui volent si bas, comme saint Thomas j'aurais dû demander à voir pour croire. Peut-être me faisait-il marcher... Il peut aussi s'agir de ce qu'on appelle un déplacement symbolique d'un problème situé ailleurs. En tous cas, dans un vestiaire de sport, après un effort intense, les sacs sont presque tous remontés.
D'autre part, il y a des amatrices, des amateurs, intraitables aficionados de la paire pendante. Et de nombreux mecs de tous bords qui les étirent (en cachette ou franchement) pour les faire valser encore plus bas. Si cela vous tente, renseignez-vous sur un forum sérieux, car le travail des couilles avec des extenseurs et des poids est une entreprise délicate (voire dangereuse) qui demande beaucoup de patience pour arriver à un résultat satisfaisant.
À côté du poirier droit sur la tête et des briques cassées sur l'avant-bras, les moines de Shaolin s'exercent aussi à porter et à tirer des poids au bout d'une corde nouée à leurs couilles. 25 kilos en suspension, 250 en traction sont considérés comme de bons résultats. Mais ces pieux bonzes commencent à l'enfance... Quant à nous, si elles remontent jusqu'à la glotte, c'est que nous avons les boules!
André
Miroir... mon beau miroir !... lesquelles sont les plus belles ?
RépondreSupprimer...Pendantes ou bien remontées ?... Aucune idée !... Et toutes façons, on n'y peut pas grand chose. Moi, je les préfère bien douces et rasées de frais. Et si possible bien pleines. Quant à votre ami, André, rassurez-le: J'ai eu "à faire" avec un Espagnol qui s'affligeait toujours de ses "cojones" trop pendantes, paraît-il... Alors que moi, je trouvais qu'il s'en servait à merveille pour des "trucs" assez inoubliables et pas du tout affligeants comme de subtils balayage du corps de ses partenaires et autres choses que je raconterais si je ne craignais pas qu'il y aie des enfants pas encore couchés, rôdant aux alentours de cette Case des Hommes... Bonne soirée à tous.
Philippe
j'espère que moi qui suis douillet;
RépondreSupprimerje ne vais pas perdre la boule;
après cette lecture et surtout ces photos;
qui me donne la chair de poule
(vous savez la peau qui prend l'aspect de peau de couilles...)
hummm j'adore ce post sur les couilles, ma partie préféré de l'anatomie des mecs...les regarder, les avoir en main, en bouche et les regarder pendre...
RépondreSupprimerMerci pour ce superbe post sur les couilles…au plus elles sont grosses en pendantes au plus j'adore….
RépondreSupprimerCher André,
RépondreSupprimerUn message comme tu as dû en recevoir par centaines mais je tenais à te dire, moi aussi, la satisfaction que j'éprouve à consulter ton blog et le plaisir à lire tes écrits très pertinents. Les divers sujets abordés méritent toute mon attention et m'incitent à une réflexion personnelle.
Par ailleurs, on sent une belle tolérance et une aussi belle générosité.
Un grand merci.
Sonnent sonnent les cloches : http://drawingwithmyfrienddick.blogspot.fr/2015/05/if-my-dick-was-le-tocsin-les-moines.html
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