samedi 10 mars 2018

Mode afro-américaine : ces beaux gars font rayonner les couleurs















Autre continent. Ces policiers ghanéens se trémoussent sur un air très populaire depuis l'an dernier, un hit intitulé One Corner qui a gagné tout le pays. En principe, on le danse en solo dans les coins, contre les murs. Mais le mouvement suggestif incite à gigoter en couple. Ici, les flics n'ont pas de partenaires de l'autre sexe à disposition pour manifester leur virilité, ce qui ne semble pas les embarrasser. La musique et sa chorégraphie ont rapidement conquis les pays voisins, ce qui fait hurler les citoyens bien-pensants...




























Dans leur majorité, les photos ci-dessus sont empruntées aux sites Where The Black Be et Jaespot.


5 commentaires:

  1. très bien fait, mon André!!!

    RépondreSupprimer
  2. Ils sont tous magnifiques!

    RépondreSupprimer
  3. J'ai trouvé ceci sur la danse :
    Le « bombasse » vient de Jamaïque où elle s'appelle le « daggering » . Une danse si provocante et si clairement sexuelle qu'elle a été interdite en 2009 ! Le « daggering » jamaïcain a donc traversé l'Atlantique, pour débarquer où il a pris le nom de « Bombasse » et ça se danse sur des rythmes de ragga sénégalais ! Or il se trouve que le Sénégal qui est à plus de 90% musulman, le « bombasse » a donc choqué les leaders religieux. C'est d'ailleurs fait pour ça ! Et les jeunes Sénégalaises hurlent à l'hypocrisie, évidemment. Pourquoi ? Parce que dans les saabars traditionnels, ou lambeuls, les mères et grandes sœurs des ados arrêtées dansent de façon au moins aussi suggestive, mais comme c'est au bruit des djembés et devant les leaders religieux, c'est moins grave !

    RépondreSupprimer