lundi 2 mars 2020

Des verges veinées propres à effrayer les trop jeunes vierges...








Notre verge, notre bite, notre queue -- pourquoi ne pas s'exprimer au masculin ? -- notre pénis est un organe à la fois solide, résistant et sensible, parfois fragile. À observer, ou éprouver (lorsqu'un gars se saisit brusquement du nôtre) on s'étonne combien certains hommes passent à côté du plaisir d'un contact d'abord mesuré, d'une palpation exploratoire menée avec tendresse de ce jouet miraculeux. Pourquoi, dans leur empressement, en torpillent-ils d'emblée la découverte ? Dès lors, on se demande comment ils se paluchent. Ils passent à côté de la lente montée du plaisir, des caresses de plus en plus insistantes, de l'euphorie au sommet, de la vue panoramique sur l'enchantement de la chair que nous offre le moment précédant l'orgasme. Puis du tremblement sismique de tout le corps.



À les regarder de près, chaque pénis possède une allure propre, sa personnalité s'impose et se modifie alors qu'ils se dresse. Le dessin des artères est fascinant et ce pouvoir d'enchantement nous vient du dieu romain Fascinus descendant du Phallos des Grecs. À Rome, la coutume voulait qu'on protège une maison et ses habitants du mauvais sort en pendant l'effigie de Fascinus à l'entrée. Les Japonais aujourd'hui encore honorent des phallus géants qu'ils portent en procession, comme le faisaient les Latins. À quand les cortèges de Carnaval agrémentés de phallus monstrueux, l'entrée de nos maisons protégée du virus chinois par des bites en granit ?

André
































8 commentaires:

tipol a dit…

C'est beau comme un tronc d'arbre ;o)

Philippe a dit…

Salut André,
Texte et photos sont magnifiques.
J'ai bcp aimé, la photo en nb sublime le sujet, merci pour ce superbe choix.
Bonne semaine, bien amicalement depuis la Riviera Vaudoise
Philippe

Franco a dit…

Dans un monde où nous vivons de plus en plus vite, il semblerait y avoir moins de place pour la fascination. Parce que la fascination n'existe que lorsque le temps s'arrête.

Baisers langoureux et lents...

Anonyme a dit…

Bonjour André
Comme toujours tu nous ravis avec tes textes et tes photos, c'est un plaisir et un régal des yeux.
Merci pour tout, je regarde ton site tous les jours et je ne m'en lace jamais

André a dit…

* Salut Tipol!
Eh! les gars qui lisez les commentaires: rendez vous sur le jeune blog de Tipol, vous découvrirez un artiste complet (qui a aussi un faible pour les tétons).

* Philippe ! De retour, bienvenue !

* Franco ! Mi también me gusta cuando te desnudas. Lo más lento que puedas...

* Anonyme ! Merci pour ton encouragement. Je te suggère de choisir un pseudonyme si tu as l'intention d'intervenir de temps en temps; ainsi nous pourrons te (re)connaître.

tipol a dit…

Merci André pour ce petit coup de pub : je commençais à désespérer d'avoir des visiteurs ! Et oui, je suis fan de beaux tétons ( mais pas seulement ;o) Belle journée à tous

Xersex a dit…

Très jolie cette ode à la bite.

david jean-félix a dit…

A Pompéi, on retrouve des verges en érection à l'entrée de certaines villas. Symbole de virilité de de vitalité.