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André
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Le crâne nu est bien accepté et tellement plus naturel que les postiches. Et les aisselles ? C'est à bien plaire, comme les poils qui guignent hors de la chemise entrouverte en nous titillant... Oui, les aisselles, le dessous de nos ailes sont au cœur d'un fétichisme qui met en valeur l'odeur très personnelle qui s'en dégage. Pour les uns c'est une senteur sexuellement stimulante alors que d'autres la trouvent répugnante. Lorsque l'émanation est discrète, elle diffuse néanmoins un message important pour la personne qui s'approche et se sent attirée. Ainsi sont nées de grandes amours sur une piste où l'on avait dansé corps contre corps.
André
La semaine dernière j'ai découvert, sur une chaîne de TV allemande, que
des femmes adultes commettent aussi des agressions sexuelles sur de
petits garçons. Le gars interviewé, Michael Reh, né à Dortmund il y a 61
ans, déclarait que sa tante l'avait violé pour la première fois alors
qu'il avait 4 ans et que ses parents l'avaient remis à la garde de cette
femme. Et cela a duré jusqu'à sa douzième année. "On m'a souvent
demandé pourquoi je n'avais rien dit. C'est une telle agression pour
l'âme et le corps d'un enfant qu'il n'y comprend rien et ne saurait
l'expliquer." Dans son cas, il y avait en plus la menace de l'adulte
qu'elle le tuerait si il en parlait. Elle ajoutait: "Même si tu le
racontes, personne ne te croira."
Lorsque Michael Reh a voulu porter son affaire devant la justice, le délai de prescription était de dix ans. Donc c'était beaucoup trop tard. Et il fallait présenter au moins un témoin ! Comment la justice peut-elle être aussi injuste ? Le taux des agressions sexuelles commises par des femmes s’établit à environ 5 % de toutes les infractions de ce type. L'an dernier, à un journaliste qui lui demandait comment il se définissait: queer, homosexuel ou être humain ? il a répondu: "Aujourd'hui, je me considère comme une personne normale. Bien sûr, en tant que gay j'aime les hommes et cela a toujours été une part importante de ma vie. Néanmoins l'essentiel est de s'accepter et d'accepter les autres. Ce qui n'est pas toujours facile, même dans notre société occidentale. Voilà: l'intégration au lieu de la séparation demeure ma priorité."
André