Qu'est-ce qui change le plus dans le physique d'un petit gars durant
l'adolescence ? La longueur de sa bite, le volume des couilles et des
muscles, la pilosité des jambes, des bras et aisselles, enfin le chemin
que parcourent les poils du sexe jusqu'à la poitrine en même temps
qu'entre les jambes. Et parfois jusqu'au dos... Beaucoup plus tard, le
même individu verra son ventre gonfler, sa chevelure se déplacer; et la
seule croissance qu'il pourra encore observer sera hors des oreilles et
des narines.
Quant à la barbe, elle sera sa grande fierté lorsqu'elle commencera à
pousser. Puis, suivant les coutumes, la religion, les saisons, les modes
et son propre caprice, le gars la laissera pousser. Sinon il se
soumettra à la tyrannie quotidienne du rasoir. Actuellement en Occident,
la prévalence de la pilosité virile est une simple affaire de choix. On
peut la laisser pousser et même arborer un chignon.
Par rapport au passé, la présence en un même lieu de l'eau chaude, du
savon, de l'électricité et d'une douche a rendu la tonte aisée.
Anciennement seuls les hommes appartenant aux classes sociales
privilégiées pouvaient faire entretenir une coupe de grand style, sinon
un menton glabre. Quant à la moustache et aux rouflaquettes, elles
étaient chargées de toute une histoire plus ou moins érotique, voire
idéalisées en tant que fétiches, ce qui n'est presque plus le cas
aujourd'hui étant donné leur familiarité. Et puisque l'on peut tout se
permettre, priver le corps entier de tous ses poils n'est pas une
excentricité.
Le crâne nu est bien accepté et tellement plus naturel que les
postiches. Et les aisselles ? C'est à bien plaire, comme les poils qui
guignent hors de la chemise entrouverte en nous titillant... Oui, les
aisselles, le dessous de nos ailes sont au cœur d'un fétichisme qui met
en valeur l'odeur très personnelle qui s'en dégage. Pour les uns c'est
une senteur sexuellement stimulante alors que d'autres la trouvent
répugnante. Lorsque l'émanation est discrète, elle diffuse néanmoins un
message important pour la personne qui s'approche et se sent attirée.
Ainsi sont nées de grandes amours sur une piste où l'on avait dansé
corps contre corps.
André
10 commentaires:
Adolescent je détestait ce corps imberbe et j’attendais avec impatience le jour où ma pilosité se déciderais à montrer le bout de son nez ,ça a commencé timidement avec un soupçon de moustache vers 14 ans , et puis mes poils pubiens sont apparut et ca s’est plus arrêté, mes cuisses mes fasses se sont manifesté, j’avoue que j’ai été servis , mon torse est velu et sincèrement pour moi ce fut un bonheur.
Et puis la mode à changé à partir de l’apparition des dieux du stade tous les mecs ont voulu être glabres, donc adieu poils bonjour la tondeuse et l’épilation sauf pur moi , je suis resté nature et naturel même si du coup j’ai eu le droit parfois à des commentaires pas très sympathiques , pour moi la diversité est la norme chacun est libre de ses choix, mais pas touche à mes poils
Voici un sujet qui me plaît.. quoi de plus sensuel que de passer ses mains sur un torse velu, des fesses douces et poilues et caresser des bras virils et musculeux. Le poil véhicule les phéromones et active l'excitation sexuelle. Messieurs..ne les rasez pas.. c'est si bon . Merci André pour ce blog et ces magnifiques images. Toujours un bonheur de te lire.
Je suis d'avis que moins il y a de cheveux, mieux c'est, mais je ne méprise certainement pas certains hommes parce qu'ils sont poilus. Je rase aussi ma bite et mes couilles. Je pense que c'est un mélange d'habitudes et d'époques dans lesquelles on vit.
À propos du charme de l'homme poilu, je vous montre l'un des hommes les plus poilus et les plus beaux que j'ai jamais vus. Voici son profil IG ici. Il a un beau visage extrêmement expressif. J'espère que vous pouvez le voir.
C'est très bien d'avoir pris ce contre-pied. Au fur et à mesure de la lecture, je craignais de lire ton alignement sur ces beaux rugby mâles.
Mais sans te découvrir je suis légèrement jaloux de ya pilosité moi qui n'en a pas assez !
Mes rapports aux poils ont toujours été excellents ... ado, je bavais sur les gars de ma classe au collège puis un autre au lycée dont la pilosité importante me faisait rêver. Et puis quelques poils ont nourri mes espoirs.... puis rien.. À partir de 40 ans, j'ai enfin vu mon torse se couvrir de poils, sans avoir une touffes épaisse ou généreuse. Un peu au pubis, aux aisselles aux jambes mais rien à voir avec les photos de ce sujet. J'ai appris à m'accepter moi qui suis plutôt crevette et pas bodybuildé, pas très poilu, mais avec un teub assez longue, qui approche les 20 cm, de couleur de peau balance, pas besoin d'UV. On ne peut pas tout avoir. Sachons se contenter de ce que la nature nous offre.
Les poils, je les trouve aujourd'hui sur mon compagnon. Je sais en profiter et sur l'autre c'est aussi très agréable et excitant. Merci André pour cet article délicieux. Bizzzzz
À la relecture de mon message, je préciserai la couleur de peau balance...
Dans les années 1980 les shorts de sport étaient si courts qu'on pouvait voir le poil frisé du périnée des jeunes hommes déborder sur la face intérieure de leurs cuisses...
Un vrai régal !
Bazané
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