jeudi 24 juillet 2014

Mecs en transe qui se retiennent à la limite de l'orgasme






L'activité à laquelle s'adonnent ces gars se nomme le gooning dans le jargon sexuel américain. Normalement, un gooner est un galopin, ou un homme de main (dans le sens de sbire); en anglais, le terme définit un supporter du FC Arsenal! Cependant, les gooners illustrés ici appartiennent à la tribu des initiés de la masturbation forcenée; ils se maintiennent le plus longtemps possible à la limite de l'éjaculation, edging en anglais. Mais avec un gros plus, selon eux: ils se laissent hypnotiser par leur bite avec laquelle ils entrent dans une communication plus que sexuelle, faite de révérence et d'admiration. Ils se retiennent pour la beauté du geste, comme un sportif s'entraînant au record du monde de saut en longueur. Les centimètres (gagnés au saut), les minutes supplémentaires de paluchage ne servent à rien, si ce n'est à leur propre gloire. Certains d'entre eux rapportent dans leurs forums qu'ils atteignent un état où ils deviennent tout entier leur bite. Ils s'incarnent phalliquement en elle et vice-versa.






L'art de la masturbation inspire de nombreux clans, certains plus sectaires que d'autres. Parmi eux, les adeptes de la rétention du liquide s'exercent à ressentir l'orgasme sans gicler; les plus doués arrivent à envoyer leur nectar jusqu'au cerveau -- par voie interne, bien sûr. D'autres cultivent la rétention et l'orgasme différé pour amener leur partenaire au plaisir le plus longtemps possible, dans des vagues successives. Lorsque je fréquentais les stages de tantra d'un disciple de Bhagwan Shree Rajneesh (rebaptisé Osho après sa mort), je suis parvenu une fois à me faire jouir durant une demi-heure avant d'éjaculer. Plaisir que les gooners ne recherchent pas. Ils se fixent sur leur bite plutôt que d'affiner leur respiration et de répartir les ondes de plaisir sur le corps entier.



Avec l'âge, le chrono ne compte plus. On cherche la voie qui mène à une volupté globale, une onde enveloppante prête à déborder hors des frontières corporelles. Il existe aussi des femmes et des hommes qui se masturbent en formant le dessein de créer une énergie de paix qu'elles et ils envoient à la planète entière. Il en faudrait beaucoup plus.

André

5 commentaires:

Calyste a dit…

Plus je vieillis, plus, paradoxalement, je trouve intense le plaisir de l'éjaculation. Je ne l'aurais jamais cru auparavant !

Anonyme a dit…

I had my first Orgasm at 10 years old. I loved playing with my penis orgasm is the best feeling in the world
and how about you andre when was his first orgasm?

Anonyme a dit…

I had my first orgasm on a bicycle at 9 yo my dick is huge all the time
Then from that day I masturbate face down with pillow rubbing it on my bed but without ejaculating
blogmaster can you a boy have orgasms without ejaculating ?

Anonyme a dit…

i´m gooning i love worship my dick I love retain my semen I can have multiple orgasms a man becomes completely hypnotized the male genitals are subjected to will trigger potent elation. it is a arabe ancient technique
the sensation of masturbating and having several orgamos is excellent
I do this several times a day

Arnaud a dit…

Perso, j'ai découvert le gooning par hasard, comme jeune quadragénaire.

Avec une bite moins sensible et moins prompte à éjaculer que lorsque j'étais ado ou dans la vingtaine, j'ai commencé par découvrir que je parvenais désormais à me stimuler pendant plusieurs heures.
Un jour, après 3 bonnes heures de porno, je suis naturellement rentré dans cet état de transe étonnant qu'est le gooning. J'ignorais que cette pratique portait un nom.

Je me suis masturbé pendant plus de 6 heures. Mon sexe tout excité avait complètement pris le dessus sur mon corps et sur mon esprit... Je ne savais plus quelle heure il était; manger, boire, dormir, répondre au téléphone.... ne m'intéressaient plus. J'étais complètement ennivré par ce plaisir complètement nouveau... Je parlais à mon sexe en délirant, j'adoptais des postures grotesques, j'émettais des râles effrayants... Et puis cet irrésistible besoin de tirer la langue !

Aujourd'hui je m'aventure dans le gooning presque chaque semaine. J'ai développé une maîtrise si parfaite de mon sexe que je peux je peux me polir le manche sans aucune gêne ni retenue pendant 12 heures et plus. Autant d'heures de délices indescriptibles où aucune femme ne m'avait jamais mené....


La découverte du gooning s'apparente à la découverte de ta première éjac lorsque tu étais ado, tellement c'est nouveau !
La vulgaire "branlette" va laisser la place à un art, une virtuosité du travail de ta bite...

Quelques trucs :
- vas-y plus doucement; 99% des mecs se masturbent à une vitesse folle !
- évite de stimuler ton gland directement, vu que c'est une autoroute vers l'orgasme. Appliques tes vas-et-viens sous la couronne du gland, sur la hampe et sur la racine de ta verge. Stimule les flancs...

Pour atteindre le stade du gooning, tu devras t'astiquer pendant au moins 2 à 3 heures en continu. Pendant cette phase, le porno non-stop est quasi-indispensable.

Après 3 heures tu vas rentrer dans une sorte d'état de trance, où tu perdra la notion du temps : c'est le stade de gooning.
Le porno devient accessoire. Tu laisses ton sexe excité prendre le contrôle de ton corps et de ton esprit.... C'est ça, le gooning : savoir t'abandonner complètement à tes instincts primaux, et laisser ceux-ci prendre le dessus. Ils te feront délirer tout haut, pousser des râles et des grognements, tirer la langue, adopter des postures grotesques...
Bref, tu auras l'air d'un super-abruti mais tu planeras dans un paradis de la bite où aucune femme ne peut te mener et où très peu d'hommes osent s'aventurer...

Nous autres, gooners, formons une sous-communauté dans la vaste communauté des amateurs de branle.
Nous somme tous très fiers de notre pratique, car le gooning est une évasion autant qu'une célébration de notre bite, qui nous fait nous sentir terriblement "mec"...

J'encourage vivement tous les hommes à oser un voyage dans le gooning !