Lorsque le paquet est à sa place, on n'y pense pas. Mais faut être mec pour comprendre combien il est insupportable de sentir les bonbons collés au sachet. Ou que le matos est coincé. Encore doit-on trouver un endroit assez discret pour y remédier. Sauf bien sûr au milieu d'un stade où la gêne n'est pas de mise. Ces situations seraient insupportables si le service trois-pièces ne nous offrait pas tant de bonheurs.
Quant aux angoissés, ils mettent compulsivement la main au paquet pour vérifier si le petit oiseau ne s'est pas envolé avec son nid. Et puis, il y a le matin au saut du lit où l'on est bien obligé de gratter pour lisser la peau des couilles. Comme lorsqu'on baisse le slip. Parfois, devant les urinoirs en batterie, on en voit un qui sort tout le matos, histoire de l'aérer, sans provocation.
"Les hommes éprouvent à se gratter le même plaisir qu'à faire l'amour." -- Démocrite, philosophe grec, né vers 460 avant notre ère.
|
|
|
1 commentaire:
quand je travaillais dans un palace, à Londes, un maitre d'hotl allemand nous faisait remarquer que la position du serveur qui attend le client (waiter ) = l'anglais a les mains dans le dos, le français les bras croisés, l'allemand bras droit lelong du corps, et l'italien se gratte les couilles ! en observant mes collègues, j'ai constaté que c'est assez vrai !(de quoi faire un article, avec de belles photos) !
Enregistrer un commentaire