Dans une publicité double page de mon quotidien, vendredi dernier, une représentante de la classe dite privilégiée [photo] se demande: "Puis-je vraiment changer les choses?"
Poser ainsi la question, c'est y répondre. Alors que tant de personnes sont chassées de leur pays par la faim, par la guerre et par les violences (comme de subir un viol, Madame, ou de voir votre enfant périr noyé).
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Elle se demande: "Puis-je vraiment changer les choses ?" |
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Trois jours plus tôt: le petit Aylan, réfugié. |
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Stressée par l'actualité, la dame cherche le calme à la campagne. UBS, la plus grande banque suisse, vient à son aide et reformule ainsi sa question:
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La plage de Bodrum, Turquie. |
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"Est-ce que j'investis dans le monde où je vis ? Ou dans celui que je veux ?" Et UBS verse du baume sur le coeur stressé: "Faire du bien et avoir du succès, nous pensons que c'est possible. Ensemble, nous pouvons changer les choses en empruntant des voies nouvelles et innovantes: avec l'Impact Investing durable qui correspond à vos valeurs et peut vous aider à garantir votre revenu. Le bon portefeuille peut effectivement améliorer le monde et, en prime, vous permettre d'accroître vos opportunités de rendements."
André
1 commentaire:
pour moi je trouve abominable de voir certaine personne profiter de la pauvreté des autres personnes et ce remplir les poches et ensuite les abandonné,car pour ces pauvres gens subir la débilité des hommes plein de rage et de violence créer des guerre et ensuite ce sont toujours les civils qui en paye le prix, et ensuite des homme malhonnête leurs fond croire qu'ailleurs il y a un monde meilleures, partout dans le monde il y a la pauvreté,et le plus dur a supporté se sont des enfants qui paye le prix, bon dimanche André
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