samedi 13 août 2011

Sous les jupes de papa: kilt, pénis et complexe de castration

Comment les Écossais et leurs imitateurs ont réglé le complexe de castration.

C'est connu, le mâle de l'espèce a besoin d'exhiber son équipement pour se rassurer. (Les blogues ont été inventés dans cette intention, mais ils ont propagé l'inquiétude.) Ce n'est pas notre faute si nous sommes angoissés. Les responsables -- une fois de plus -- sont nos parents. Freud et ses disciples nous ont dédouanés. Mais comme les parents des psys sont encore plus merdiques que les nôtres, ils ont tout embrouillé.

Repartons à zéro en prenant pour exemple les Écossais qui savent soigner leur panique face aux dents de la mère et au phallus du père (angoisse de castration) avec leur kilt. Vers l'âge de trois ans, le petit mec exhibe volontiers son zizi, parce qu'il commence à percevoir toute la richesse de sensations et de satisfactions qu'il pourra en tirer -- en plus du plaisir de pisser à côté du pot. C'est sa manière de séduire sa mère (qui n'en a pas) et d'irriter son père qui en a un gros. Les Freudistes appellent cela l'oedipe, sans bien savoir à qui ou quoi ils font allusion. Ils parlent aussi du moi et du ça; ça n'impressionne plus grand monde.


Tenue de soirée.
Ensuite les Freudistes évoquent une rivalité qui opposerait le garçon à son père (ou sa mère) pour la possession de sa mère (ou son père). Et la castration qui pourrait suivre en guise de punition (dans l'imaginaire de l'enfant). Comment échapper à ce péril? Renoncer à baiser ses parents et draguer un gibier moins rassis! C'est à ce virage vertigineux que les pédophiles et les pédérastes plongent trop profond, en choisissant le blé en herbe au lieu du bon pain frais à la croûte dorée et croquante.

Ayant renoncé à baiser la mère, ou le père, sinon les deux, le garçon perd son complexe d'oedipe plutôt que de se faire trancher les trois pièces. C'est le dur apprentissage de la loi des concessions et des compromis. Pour rester freudistes,  notons que dans le compromis il y a le con promis, à moins qu'on soit plutôt attiré par les couillons.

À l'américaine = circoncis = 1/4 castré.
Les Écossais affichent leur liberté en adoptant le kilt; ils démontrent ainsi qu'ils ont résolu leurs problèmes sans perdre la part féminine qui est en nous tous. Ayant vérifié que sous ses jupes, papa n'est pas con, ils exhibent fièrement leurs mollets musclés et les plis d'une jupe très robuste. De plus, ils sont toujours prêts à donner la preuve que leur virilité est intacte; qu'ils ont échappé aux dents affûtées de la mère, au couteau et au tire-bouchon du père.

André

5 commentaires:

Anonyme a dit…

oh, vs savé, i peu y'avr autan de plaisir a déguster du blé en herbe ke du pin frè, st1 kestion de préférence alimentair ! ;)

Robert a dit…

C'est dégueulasse de justifier ainsi les pédophiles avec votre langage de bébé. Pour les pédérastes, je ne me prononce pas: certains agissent avec sagesse et respect, d'autres sont de purs violeurs.

Anonyme a dit…

konten ksa vs zé plu en ts ka, tan ds la forme ke ds l'fon mdr

come koi kan ton veu comprendr, on nyariv ! lol

pr autan, bien kétan en dézacor avc votre 1ère fraze, je ne peu kapprouvé la 2ème.

Anonyme a dit…

Il est très agréable de porter un kilt ou un short sans slip. L'essayer, c'est l'adopter. Pourquoi mettre un sous-vêtement quand il est que possible de vivre sans en porter. Le slip, caleçon ou boxer sont une invention purement commerciale et rien d'autre. Bref, vive la vie sans dessous.

Philippe Heili a dit…

C'est tellement sexy un mec en kilt