Après avoir bâfré samedi et dimanche pour encourager le soleil à briller chaque jour un peu plus -- un acte d'abnégation et de solidarité --, va falloir descendre encore tous les restes de ces repas, ce dans la terrible perspective d'une récidive le week-end prochain... Voici comment éviter ce sort funeste: engager un cuisinier, non pas sur ses états de service ou ses étoiles, mais pour sa mine saine et appétissante. La suite? À votre convenance. De l'exercice joyeux plutôt que des calories superflues. C'est bon pour l'agilité de l'âme et la vivacité du corps.
3 commentaires:
Super ce truc !... "que n'y pensé-je plus tôt ?" L'an prochain, promis, j'essaie... d'essayer ! Pour Nouvel An, ça me semble un peu tard: "ils" doivent tous être déjà réservé depuis longtemps, ces cuisiniers
Moi, j'ai un autre truc. ça vaut ce que ça vaut... je vous le donne quand même: Vous invitez plein de monde, vous passez votre matinée entre torchons et aspirateur, votre après-midi à courir encore chez le boucher et le confiseur, votre soirée à trancher, couper, servir, descendre à la cave, déboucher ce que vous avez remonté, redescendre à cause du goût de bouchon, monter au grenier chercher encore 3 chaises... (et sans bouffer... pas le temps !)... Je vous promets que vous n'aurez pas pris un gramme de la soirée !...
Et vos invités vous remercient de l'excellente soirée, alors que vous titubez jusqu'à votre lit, en pensant à toutes ces calories que vous allez encore brûler tout à l'heure avec le ménage !...
On peut déjà réserver pour 2012 ?...
Bonne année, en attendant !
Quel dévouement! C'est ce qui s'appelle se consumer soi-même au lieu de consommer.
Philippe, ton commentaire est plein de vécu,bourré d'humour, c'est souvent l'impréssion que j'ai après une invitation, et c'est vrai, qu'aprés de telles expériences on réclame ces beaux cuisiniers à corps et à cris...
bon réveillon avec ou sans aide !
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