Photographe de beaux mecs à Londres dans les années d'après-guerre 1940-1960, vocation qui lui a valu quelques séjours en prison, John S. Barrington possédait un talent moins éclatant qu'il ne l'imaginait. Selon son biographe Rupert Smith, ses oeuvres étaient trop insignifiantes et innocentes pour intéresser le cercle de pédales célèbres auxquelles il a rendu visite. Jean Cocteau l'a reçu avec sympathie, sans plus. L'ironique Noel Coward que Barrington a approché dans une tasse ne s'y trouvait pas pour acheter une collection de photos. Les esthètes internationaux Gore Vidal et Franco Zeffirelli auxquels il a tenté de vendre ses exemplaires les plus pornos l'ont renvoyé avec mépris.
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2 commentaires:
l'art tiendrait à une référence?
me voila bien étonné,
moi qui croyait qu'il fallait du talents!
bonne journée André.
Bonjour André,
Le glissement du slip sur le mollet n'a rien perdu de son charme ni l'intérêt sur le sexe du camarade de son éclat
Merci pour la lumière surranée de ces clichés ; sensualité d'un brin de paradis s'effaçant
Bien cordialement
frenchanonymous
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