mardi 13 avril 2021

Le confinement, la solitude: on existe à peine dans la pénombre

































































Philip, duc d'Edimbourg (né Philip Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glückburg), a joué un rôle essentiel dans ma vie de gamin. J'avais 10 ou 11 ans lorsque j'ai vu sa photo dans un magazine; il faisait du ski nautique. Il m'a ébloui. J'en ai déduit que ma préférence allait au corps masculin. Ce que cela signifiait, je l'ai découvert un peu plus tard. On ne parlait pas de ces choses dans les années 1940.
 









5 commentaires:

Anonyme a dit…

bonjour, En ce qui me concerne, le confinement n'a fait qu'amplifier une situation déjà existante.

Xersex a dit…

es-tu tombé amoureux de philip?

unnu a dit…

Bonjour André
je t'envoie du soleil pour te réchauffer
et puis la chaleur de mes paumes et celle de mon souffle
les gels d'avril ne doivent pas nous abattrent
le joli mois de mai, arrive dans quinze jours
bonne journée
Jean

David Jean-Félix a dit…

Encore un très beau choix de photos. Merci pour l'article.
David

André a dit…

Merci, les gars, de vos commentaires !

Non, je ne suis pas tombé amoureux du prince; son physique a réveillé en moi le petit pédé (le mot gay n'était pas encore en usage). Mais à cette époque, ce que je cherchais chez les adultes mâles, c'était un père qui m'aurait serré dans ses bras poilus. Sans en être bien conscient, je sentais que le prince n'avait pas de vie intérieure très riche. Les play-boys sont plus plaisants en photo qu'en réalité.